viernes, 26 de febrero de 2010

Le pétrole des Malouines réveille les tensions

Buenos Aires écarte l'option d'une guerre aux Malouines
L'ex-président argentin Nestor Kirchner opéré d'urgence avec succès
Nucléaire iranien: Clinton espère une résolution de l'ONU d'ici 60 jours
Pétrole aux Malouines: l'Argentine soutenue par l'Amérique latine
L'Argentine veut compliquer les forages britanniques aux Malouines




Le pétrole des Malouines réveille les tensions
L'Uruguay, un pionnier en Amérique latine
Un «pépé», ex-guérillero, aux portes de la présidence
La présidente chilienne gagnera-t-elle «sa» guerre?
Le paco décime des milliers de jeunes argentins


Des manchots ont envahi un champ de mines à Kidney Cove, dans les îles Malouines, vestige de la guerre pour ce territoire qui a opposé la Grande-Bretagne et l'Argentine en 1982.




(Buenos Aires) Près de 30 ans après la guerre des Malouines, l'archipel est encore une fois au centre d'une querelle entre l'Argentine et la Grande-Bretagne. Objet du litige: le pétrole. Beaucoup de pétrole. Aujourd'hui, l'Argentine demandera officiellement à l'ONU d'encourager des négociations auxquelles le Royaume-Uni se refuse. Notre correspondant à Buenos Aires raconte.

Soixante milliards de barils de pétrole. C'est l'estimation que fait la Société britannique de géologie du gisement des eaux côtières des îles Malouines, à 500 km au large de l'Argentine. Un fabuleux trésor pour les 2900 «Kelpers» qui habitent ces îles. Et une diversion politique parfaite pour le premier ministre britannique, Gordon Brown, et la présidente de l'Argentine, Cristina Kirchner, qui cherchent à enrayer leur chute de popularité à quelques mois des élections dans leur pays respectif.

Qu'on les appelle Falklands ou Malouines, ces îles convoitées appartiennent au Royaume-Uni - au prix d'une guerre entre les deux pays qui a fait plus de 900 morts en 1982.

Vingt-huit ans plus tard, l'affrontement reste pour l'instant verbal. L'Argentine espère régler le différend devant les Nations unies. Aujourd'hui, le ministre des Affaires étrangères de l'Argentine, Jorge Taiana, demandera au secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, de proposer des négociations auxquelles le Royaume-Uni se refuse encore. «L'Argentine dialoguera de manière pacifique», a promis Jorge Taiana, tout en demandant à Londres d'en finir avec une «situation coloniale anachronique».



Hier, la présidente de l'Argentine, Cristina Kirchner, a reçu l'appui de presque tous les pays d'Amérique latine réunis en sommet au Mexique avec ceux des Caraïbes.

Alors que la société britannique Desire Petroleum vient de commencer l'exploration pétrolière à 160 km au nord de l'archipel, les Argentins considèrent que Londres viole les résolutions de l'ONU appelant les parties à dialoguer et à ne prendre aucune décision unilatérale qui pourrait aggraver leur différend.

«Ceux qui ont un siège permanent au Conseil de sécurité se permettent de violer mille et une fois les dispositions des Nations unies, tandis que les autres pays doivent les respecter sous peine d'être déclarés ennemis et d'être envahis», clame Cristina Kirchner. La présidente a signé un décret qui oblige tous les bateaux qui se dirigent vers l'archipel à demander l'autorisation de naviguer dans les eaux argentines.

Londres proteste

Londres juge la réaction argentine «pathétique et inutile». «Nous sommes parfaitement en droit» de chercher du pétrole, estime le premier ministre britannique, Gordon Brown, qui dit avoir «pris toutes les mesures nécessaires pour assurer la protection des insulaires».

La tension reste vive. Car les îles Malouines chauffent les esprits nationalistes des deux côtés de l'Atlantique. Au Royaume-Uni, les conservateurs réclament un renforcement militaire pour, disent-ils, «montrer clairement notre fermeté à l'Argentine». Le tabloïd à sensation The Sun a même assuré que trois navires de guerre étaient en route vers l'Atlantique-Sud.

De l'autre côté de l'océan, l'ambassadeur de l'Argentine à l'ONU, Jorge Argüello, a accusé le Royaume-Uni d'agiter «le spectre de la guerre».



Les îles de la discorde

On les appelle îles Malouines ou îles Falklands, selon qu'on est Argentin ou Britannique.

> Les premiers colons connus étaient des Français, marins et pêcheurs venus de la ville de Saint-Malo, d'où le nom d'îles Malouines (Islas Malvinas en espagnol). L'Espagne a expulsé les colons français au XVIIIe siècle, puis a cédé l'archipel au Royaume-Uni.

> Après son indépendance, en 1816, l'Argentine y a établi une colonie pénitentiaire en 1820, avant de l'abandonner. Depuis 1833, le Royaume-Uni y détient une colonie, bien que l'Argentine ait toujours revendiqué sa souveraineté sur les îles.

> En avril 1982, la marine argentine débarque dans l'archipel et en prend possession. L'Argentine rejette la proposition du président Ronald Reagan de partager l'administration de l'archipel. Les Britanniques (sous Margaret Thatcher) répliquent en force en mai et juin. Au bout de 72 jours, les Anglais chassent définitivement les Argentins. Cette guerre a fait quelque 900 morts, dont les trois quarts étaient des soldats argentins.

ALEXSAMA

martes, 16 de febrero de 2010

MALVINAS : Ultimas noticias


Argentina Bicontinental

ITALIA AL RESCATE?
El senador, Esteban Caselli, representante de los italianos de América del Sur, aseguró que presentará un pedido de condena al Reino Unido. Es por la autorización a una empresa para que realice explotación de hidrocarburos en las Islas Malvinas.


El senador Esteban Juan Caselli, que representa a los italianos de América del Sur ante el Senado de Italia, anunció que presentará ante ese cuerpo "una propuesta de condena" a la autorización del Reino Unido a una empresa para que realice explotación de hidrocarburos en el área de las Islas Malvinas.

Mediante un comunicado, el senador en Italia justificó el pedido "ante reiteradas y preocupantes noticias sobre la pretensión del Reino Unido de autorizar en lo inmediato la realización de operaciones de exploración y explotación de hidrocarburos en el área de la plataforma continental argentina, al norte de las Islas Malvinas y por parte de empresas británicas".

Caselli transmitió desde un comunicado su "más enérgico rechazo a esta provocación en territorios sujetos a disputa por la soberanía".

En ese sentido, el senador informó que "presentará ante la Cámara alta en Roma una propuesta de condena por parte de dicho cuerpo legislativo y de reafirmación de los derechos de soberanía de la República Argentina sobre las Islas Malvinas, Georgias del Sur y Sándwich del Sur y sus espacios marítimos circundantes".

La acción del senador Caselli se corresponde con lo manifestado por el canciller Jorge Taiana, respecto de que "el Gobierno argentino ha protestado enérgicamente ante el Reino Unido la realización de todos y cada uno de los actos unilaterales británicos a través de los cuales ese país ha pretendido explorar o explotar recursos naturales ubicados en el territorio nacional en el área sujeta a la disputa de soberanía".

El jefe de la diplomacia argentina recordó oportunamente que, además de las referidas protestas, el "Gobierno nacional ya había anunciado en el 2007 que iba a tomar medidas dirigidas a sancionar a las empresas que contraten a otras que hayan desarrollado actividades hidrocarburíferas en la plataforma continental Argentina sin haber obtenido habilitación emitida por autoridad argentina competente".

En esa línea, la Subsecretaría de Puertos y Vías Navegables, del área del Ministerio de Planificación Federal, oficializó el jueves último la prohibición de toda operación en puertos argentinos del buque Thor Leader, de bandera de la Isla de Man (paraíso fiscal ubicado en el mar de Irlanda) "hasta tanto dé cumplimiento a la normativa vigente".

El viernes llega a las Islas Malvinas la plataforma petrolera británica


Pese a las protestas argentinas, la Ocean Guardian comenzará a perforar en busca de crudo desde el próximo domingo. Permanecerá en las islas al menos seis meses, trabajando para tres compañías que ganaron licitaciones de los kelpers
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El próximo viernes llegará a las Islas Malvinas la plataforma semi-submarina Ocean Guardian y dos días después estará en condiciones de comenzar con las perforaciones que determinarán si existe o no petróleo en la zona.

El consorcio integrado por Falkland Oil & Gas y la australiana BHP Billinton anunciaron el alquiler de la Ocean Guardian para realizar los trabajos, que fueron licitados hasta antes de la mitad de 2010.

La misma plataforma había sido alquilada por Desire Petroleum y Rock-hopper Exploration, las otras empresas que trabajan en la zona, donde se calcula que la actividad se desarrollará durante unos seis meses.

Pese a las protestas argentinas, desde el Reino Unido insisten con que la exploración de hidrocarburos en las Islas "es una actividad empresarial legítima".


ALEXSAMA

SAHARA : LA TRAGEDIA QUE NO SE CONOCE EN AMÉRICA AUSTRAL

El descubrimiento de la riqueza del Sáhara Occidental por España a finales del siglo XIX llevó al asentamiento definitivo como colonia española, comenzando la explotación de las minas de fosfatos de Bu Craa. Más tarde se descubriría que el Sahara tiene uno de los bancos pesqueros más importantes del mundo.
Durante este periodo España considera a la colonia del Sáhara Español como dos provincias españolas: Saguia el Hamra al norte y Río de Oro al sur. Además establece las estructuras y organismos para el desarrollo económico y administrativo de la zona. Los saharauis en un largo proceso elaborado por el ejército español, en el que se encontraba Isidoro Correa, reciben DNI españoles y libros de familia que serán la base para el censo de 1974 por imposición de la ONU.
Así en el censo de 1974 estará perfectamente documentado quiénes son los habitantes del Sáhara Occidental, los saharauis, a los que durante el fallido proceso de descolonización corresponde, a ellos o a sus descendientes, la autodeterminación del Sáhara Occidental.
El 26 de febrero de 1976 España abandona el Sáhara Occidental y el Frente Polisario proclama la República Arabe Saharaui Democrática (RASD).
Luego el territorio fue anexado forzosamente por Marruecos.






Condenan a Marruecos por vulnerar derechos saharauis

12 de febrero de 2010, 13:46Madrid, 12 feb (PL) Partidos políticos españoles con representación parlamentaria condenaron hoy a Marruecos por sus constantes maniobras políticas y diplomáticas para frustrar el derecho de autodeterminación del pueblo saharaui.

En una proposición no de ley consensuada en el Congreso de los Diputados (cámara baja), ocho agrupaciones pidieron la suspensión de la cumbre prevista para marzo próximo entre la Unión Europea (UE) y el gobierno marroquí.

La propuesta señala que la política exterior española permitió a Rabat tener una relación privilegiada con la UE, a costa de los legítimos intereses de este país y de la legalidad internacional en el conflicto en el Sahara Occidental.

Según una nota de prensa, la iniciativa fue suscrita por los grupos parlamentarios de Izquierda Unida, Iniciativa por Cataluña Verde, Ezquerra Republicana de Cataluña, Partido Nacionalista Vasco y Bloque Nacionalista Gallego.

Recibió, además, el respaldo de Coalición Canaria, Nafarroa Bai y Unión Progreso y Democracia.

Las citadas fuerzas expresan su preocupación por las políticas del reino alawita respecto a la antigua colonia española anexada por Marruecos en 1976, que tachan de absolutamente inaceptables para los valores democráticos y de respeto a los derechos humanos.

Denuncian lo que califican de pasividad absoluta del gobierno de José Luis Rodríguez Zapatero y de Europa ante el arresto en octubre pasado de siete activistas saharauis, así como en el caso de la expulsión ilegal de la conocida luchadora social Aminatu Haidar.

En esa línea solicita al Palacio de la Moncloa (sede del poder central) que se interese ante Rabat por la situación de los siete encarcelados y les preste apoyo diplomático, y adopte medidas para garantizar la integridad física de todos los detenidos.

Sugiere también la congelación del estatuto de cooperación de la UE con la monarquía alawita, mientras que la nación magrebí no renuncie a su actual postura de vulneración de las libertades individuales de la población del Sahara.

mgt/edu

ALEXSAMA

miércoles, 10 de febrero de 2010

Hallan en Tokio el cadáver de un hombre en el tren de aterrizaje de un avión

El cuerpo fue descubierto por un trabajador del principal aeropuerto de Japón tras la inspección rutinaria a la que se someten las aeronaves que aterrizan en Tokio.

- Efe

La autoridades niponas informaron hoy del hallazgo del cadáver de un adulto en la bodega del tren de aterrizaje de un avión de Delta Airlines que aterrizó en el aeropuerto de Tokio-Narita procedente de Nueva York, informó el diario Mainichi.

La Policía japonesa está trabajando para aclarar la identidad del hombre y por qué razones pudo quedar atrapado en el tren de aterrizaje del Boeing 777-200 que aterrizó el domingo en Tokio tras un vuelo que se suele prolongar durante más de 13 horas.

El cadáver fue descubierto por un trabajador del principal aeropuerto de Japón tras la inspección rutinaria a la que se someten las aeronaves que aterrizan en Tokio.

El cadáver no presentaba heridas, pero sí signos de congelación, lo que se debería a la exposición a las temperaturas de 50 grados bajo cero que se alcanzan en la altura de crucero de un vuelo intercontinental.

El hombre vestía vaqueros y una camiseta, insuficientes para sobrevivir a las bajas temperaturas, a lo que se suma que ese compartimento del tren de aterrizaje no está presurizado durante el vuelo.

Según los investigadores nipones, la víctima tendría que haber quedado atrapada poco antes de que se iniciase el vuelo y habría fallecido por congelación.

En 2003, se registró un caso similar en un vuelo que aterrizó en el aeropuerto de Narita procedente de Hong Kong con el cuerpo sin vida de un hombre en el tren de aterrizaje.